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Si l’année 2020 a été marquée par le coronavirus, elle n’a toutefois pas empêché l'ONDRAF de progresser dans certains dossiers importants. Envie d’en savoir plus ? Notre rapport annuel vous propose un aperçu des événements majeurs de l’année, ainsi que des derniers chiffres de la gestion des déchets radioactifs dans notre pays.

En dépit du mauvais temps persistant, Roger Damen, un bénévole, a réussi à prendre quelques clichés ensoleillés sur le futur site de stockage en surface de Dessel. Nous avons sélectionné les meilleures photos et faisons le point sur la gestion de la nature sur le site.

Après de nombreuses et minutieuses opérations d’assainissement, le bâtiment 7 du site nucléaire exploité par l’ONDRAF à Fleurus a été officiellement déclassé en février. En mai, le bâtiment décontaminé a été rétrocédé à l’Institut National des Radioéléments.

L’ONDRAF gère les déchets radioactifs de manière sûre et durable, dans le respect des normes (inter)nationales, de la société et de l’environnement.

Partager les connaissances et mener les recherches ensemble. Voilà l'objectif de la plateforme européenne de concertation IGD-TP, qui se concentre sur la recherche en matière de stockage géologique. Notre collègue Maarten Van Geet nous en dit plus.

L’ONDRAF veille à ce que les générations futures n'aient pas à payer pour les déchets radioactifs que nous produisons aujourd'hui. Nous nous assurons que les producteurs de déchets prévoient d’ores et déjà des fonds suffisants, selon le principe bien connu du « pollueur-payeur ».

À la fin de l'année dernière, notre filiale industrielle Belgoprocess à Dessel a mis en service un nouveau module d’entreposage de déchets de faible activité. Entre-temps, de nombreux fûts ont été empilés dans le bâtiment. Il est temps de jeter un coup d'œil dans les coulisses !

La construction d'un nouveau bâtiment d’entreposage des déchets radioactifs a récemment débuté chez notre filiale industrielle Belgoprocess à Dessel. Le bâtiment accueillera les fûts de déchets de faible activité susceptibles de présenter un risque de formation de gel.

Comment garder vivante la mémoire d'une installation de stockage de déchets radioactifs ? Et comment transmettre les connaissances sur les déchets aux générations futures ? L'artiste Cécile Massart y réfléchit à travers diverses œuvres, exposées du 19 février au 25 avril au Botanique à Bruxelles.