Comment es-tu arrivé à l'ONDRAF ?
« J'ai connu l'ONDRAF lorsque je travaillais comme chercheur au SCK CEN à Mol. C'est là-bas que j’avais été engagé par le biais de mon mémoire de Master d'ingénieur industriel en chimie. À la fin du contrat, je suis tombé sur une offre d'emploi intéressante à l'ONDRAF. J'y ai immédiatement postulé. »
En quoi consiste précisément ton travail ?
« Le transport des déchets radioactifs constitue un maillon important dans la prestation de services que l’ONDRAF livre à l’égard des producteurs de déchets. Il couvre également une grande partie de mes fonctions : je travaille en effet sur divers projets liés au transport des déchets. Par exemple, je suis actuellement une adjudication publique pour un nouvel emballage qui permettra de transporter différents flux de déchets, tels que les sources de haute activité et les déchets de moyenne activité des centres de recherche. »
« Pour un autre projet, je me penche sur un nouveau moyen de transport pour les déchets de faible activité sur le site de notre filiale Belgoprocess à Dessel. Je m'occupe non seulement de la coordination de ces projets mais, en tant qu'ingénieur, je réfléchis aussi à leur élaboration. »
« Je me charge également de l'acceptation des sources orphelines. Il s'agit de matériaux radioactifs que l'on trouve régulièrement chez les ferrailleurs ou dans les déchetteries et dont le propriétaire est inconnu. En collaboration avec l'Agence fédérale de Contrôle nucléaire (AFCN) et des experts agréés, je veille à ce que ces sources soient collectées correctement et en toute sûreté. »