Veerle, comment es-tu arrivée à l'ONDRAF ?
« Il y a quelques années, une vacance de poste à l'ONDRAF a attiré mon attention. L’organisme cherchait un collaborateur pour la gestion de projets, ce qui correspondait au poste que j'occupais à l'époque. La perspective de travailler à l'ONDRAF m’a séduite. Je connaissais déjà le secteur de la gestion des déchets, et je savais que ma formation scientifique s’avèrerait utile dans ce contexte. »
« Lors du premier entretien d'embauche, il est apparu qu'il y avait un autre poste vacant auquel je pouvais prétendre : une fonction dans le domaine des systèmes de gestion. Cette notion très vaste correspond à un travail très varié, que j'exerce avec plaisir depuis environ huit ans maintenant. »
En quoi consiste précisément ton travail ?
« L'ONDRAF veut continuellement s’améliorer en tant qu'organisation, tant dans son rôle de gestionnaire de déchets que dans celui d'exploitant nucléaire. Lorsque nous sommes devenus l’exploitant du site nucléaire de Fleurus, nous avons choisi de mettre en place un système de gestion intégré ou Integrated Management System (IMS) en anglais. Cela impliquait de définir, décrire et documenter méticuleusement les différents processus au sein de notre organisation. »
« À l'époque, nous avons donc commencé à développer notre système existant pour en faire un système de gestion à part entière. Nous le faisons d’ailleurs toujours, même s’il ne s’agit pas d’une obligation légale pour tous les sites que nous exploitons. Par-dessus tout, nous voulons que le système bénéfice le plus possible à nos collaborateurs. »
« Grâce à notre système de gestion, nous pouvons constater rapidement si un processus – par exemple, les étapes de la prise en charge des déchets radioactifs – ne fonctionne pas de manière assez fluide. Avec mes collègues, j'examine alors comment améliorer ce processus. Nous évaluons ainsi continuellement notre fonctionnement et augmentons l'efficacité de l'ONDRAF en tant qu'organisation. »