Comment es-tu arrivé à l'ONDRAF ?
« Ingénieur fraîchement diplômé en sciences nucléaires, j'ai découvert l'ONDRAF lors d'un salon de l'emploi. Peu de temps après, l’organisme m’a contacté et j'ai été engagé. Contribuer à la gestion durable et sûre des déchets radioactifs m'a immédiatement attiré. »
« Ces déchets ont diverses provenances : l’on en génère ainsi dans les centrales nucléaires lors de la production d'électricité, mais aussi dans les instituts de recherche qui travaillent avec des substances radioactives, par exemple. L'ONDRAF développe des solutions pour les déchets et les met en œuvre dans le respect de la société et de l'environnement. »
« J'ai débuté au service Acceptation. C'est là que nous traitons les demandes des producteurs de prendre en charge leurs déchets. J'ai suivi un parcours de familiarisation afin d’acquérir les connaissances spécifiques nécessaires et de connaître sur le bout des doigts les procédures de l'ONDRAF. Je coordonne désormais une équipe de neuf personnes. »
En quoi consiste précisément ton travail ?
« Mon équipe gère trois étapes importantes de la gestion des déchets : l'acceptation, le transport et le traitement. Pour cette dernière étape, nous travaillons en étroite collaboration avec Belgoprocess, notre filiale industrielle à Dessel. Les déchets sont réduits en volume de manière appropriée, immobilisés et enfermés dans des fûts. Il en résulte un produit final solide et compact. »
« L'ONDRAF demeure le responsable final des déchets. Le traitement ne peut se faire que dans des installations agréées par nos soins. En collaboration avec Belgoprocess, nous effectuons donc des contrôles et définissons des actions pour garantir la sûreté. »
« En tant que coordinateur, je garde une vue d'ensemble de tout le processus, de l'acceptation des déchets à leur traitement chez Belgoprocess. »